ET QU'A FAIT LA MUNICIPALITÉ ACTUELLE DEPUIS TROIS MANDATS ?
En période où le risque est faible, elle reste passive, certaine que la manne financière est inépuisable et que rien ne peut nous arriver.
En période de CRISE, la municipalité découvre la lune, gesticule, s’agite, s’ébroue tout en faisant le dos rond, priant le ciel pour que la foudre ne s’abatte sur le navire amiral du thermalisme balarucois.
Nous ne voulons plus de cet IMMOBILISME.
Il est donc URGENT d’agir afin de sécuriser et protéger notre activité thermale et diversifier notre économie locale pour que celle-ci ne dépende plus seulement du secteur thermal.
Si nous sommes élus en mars 2026:
ce sujet sera un axe fort de nos premières actions car nous sommes bien conscients que la nécessité d’AGIR dans ce domaine est cruciale pour l’avenir de Balaruc.
Une fois encore, Balaruc a senti passer le souffle du boulet sur l’activité thermale.
Certes, le remboursement des cures est maintenu.
Bien sûr, c’est un soulagement pour notre station. Et nous ne pouvons que nous en féliciter.
Mais gardons-nous de tout triomphalisme tonitruant.
En effet, le budget de la Sécurité Sociale a été voté en déséquilibre à hauteur de 28 milliards d’euros de déficit.
Le maintien, certainement provisoire? du remboursement des cures thermales à 65 % n’est pas une victoire car le thermalisme français reste toujours menacé par une situation catastrophique de nos comptes publics et par un audit national visant à évaluer le service médical rendu.
Nous savons depuis toujours, pour l’avoir vécu à de nombreuses reprises, que notre activité thermale est fragile car fortement dépendante des politiques publiques de santé que le pouvoir local ne maîtrise pas.